Avec cette nouvelle série
géométrique les formes rondes réapparaissent, ainsi que
le blanc, qui cette
fois n’est plus utilisé
à la base du mélange de
couleurs mais comme en aplat. […]. Chaque
touche prise sur la palette reste pure sur la toile, au
point qu’elle se charge des couleurs les plus brillantes
du spectre solaire. Ce sont des jaunes, des orangers,
des vermillons, des rouges, des violets, des bleus, des
verts intenses comme le
véronaise et l’émeraude. Tout peut à présent
devenir un linéament continu qui peut se développer en
arabesques et qui s’inscrit en nous violemment par son
originalité. Fernand Fournier, Paris, Novembre 2014 |