[…]Il s’agit alors de
toiles plus structurées, où la courbe s’assagit tout en
restant merveilleusement sensuelle. Ayant récemment
découvert dans un magazine de dessous-féminin, montrant
des femmes dénudées, Nicole Sottiaux comprend que la
courbe des corps est une promesse de bonheur. Depuis
cette découverte toute sa peinture s’est transformée.[…] les lignes du corps cessent
d’être, sinueuses
et prennent un aspect plus géométrique avec l’apparition
de têtes bien marquées qui parfois s’emboîtent l’une
dans l’autre en formant un couple.[…] Fernand Fournier, Paris, Mai 2014 |